J’écris ces lignes dans le train qui me ramène de Lourdes où j’ai participé à un grand pèlerinage ! Nous étions 1400 messagers de la joie, venus des deux provinces de France Entre Deux Mers et de France Centre, mais aussi de la province Arc-en-Ciel, du Liban et de Corée, et je suis comblé de joie ! La joie d’avoir retrouvé tant d’amis et de reprendre les échanges comme si nous nous étions quittés la veille, la joie de découvrir de nouveaux amis, de rencontrer ceux dont le visage rayonnait de venir à Lourdes pour la première fois, la joie de voir Jean Vanier, venu parmi nous pour fêter notre quarantième anniversaire, la joie de savoir qu’au même moment, d’autres pèlerins vivaient des événements tout aussi joyeux à Lisieux, à Paray-le-Monial et à Saint Maurice (Suisse).
J'ai essayé, moi aussi, d'être un bon messager de la joie, aussi bon que tous ceux que j'ai rencontrés ! Et ce message a été bien transmis :

- à Monseigneur Nicolas Brouwet, le jeune évêque de Tarbes et Lourdes (il n’avait pas 10 ans quand le premier pèlerinage a été organisé en 1971), que j'ai vu saluer de nombreuses personnes dans la salle Sainte Bernadette avant la cérémonie d'ouverture ; il a parlé avec chaleur et amitié et j'ai bien senti dans ses paroles que Foi et Lumière faisait partie de la famille de Lourdes !
- à Monseigneur Stanislas Lalanne, évêque de Coutances et Avranche, venu accompagner les communautés de son diocèse (comme Monseigneur Thierry Brac de

Je suis malheureusement parti avant la fin – c’est un
déchirement de partir quand on voit une telle joie vécue – et j’espère que les
journées du samedi après-midi et du dimanche ont été appréciées, que la
présence de Jean, très attendue, a permis de redonner de l'enthousiasme à tous
! Je sais que Madeleine, de Madagascar, devait donner un témoignage et je suis
certain (la connaissant) qu'il a du être très émouvant !
Une grand merci à Michel et Sabine, à Jean-Régis et André,
les coordinateurs des deux provinces accueillantes (très accueillantes) !
De tels événements demandent beaucoup d'énergie et de travail pour les préparer
et ils ont certainement bien mérité de se reposer… un peu ! Ces pèlerinages ne
sont en effet pas une fin en soi et ils doivent être - comme en 1971 - le
démarrage de quelque chose de grand, qui nous dépasse, si nous nous mettons dans
les bras de Marie (comme les deux plans inclinés devant la basilique, ainsi que
le disait Mgr Nicolas Brouwet) et dans le souffle de l'Esprit (c’est bientôt la Pentecôte !), un
événement fondateur !
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